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mercredi 7 septembre 2016

Affaire « Sophie Perrin » : à Lyon 2, on demande des dommages et intérêts à l’étudiante qu’on a empêché d’entrer en doctorat



audience du 15 mars reportée au 20 septembre 2016
14h, Chambre de la presse, TGI, 67 Rue Servient, Lyon 3e


Sophie, salariée en reprise d’études et élue syndicale en Conseil d’UFR, a obtenu un master recherche mention très bien en anthropologie, et 18/20 à son mémoire, soutenu lors de la session de juin 2010. Mais sa candidature aux contrats doctoraux ministériels, puis à l’accès en doctorat, s’est vue refusée d’examen. En lieu et place d’un accès en thèse, elle vit depuis six ans maintenant, un véritable harcèlement judiciaire, mené au nom de l’université Lyon 2. La réputation qui lui a été faite au sein du monde universitaire lui interdit, en outre, aujourd’hui tout espoir de pouvoir poursuivre son cursus.
Dernier acte de ce harcèlement : une plainte pour « diffamation et injures publiques », portée durant l’été 2015 par l’université, son juriste, son ex-président, et l’ex-directeur de l’école doctorale sciences sociales.

Comment en arrive-t-on là ?